
CENTRE MARANATHA
CENTRE MARANATHA
LA PUISSANCE LIBÉRATRICE DE
JÉSUS CHRIST

TÉMOIGNAGE DE
LA SERVANTE DE DIEU
Alvine Elisabeth
Ndongo Ntone
Née au Cameroun dans une famille dont la grand mère était protestante une diaconesse, à l'âge de 7 ans je l'accompagnais tous les dimanches à l'Eglise, où elle exerçait le ministère de prière auprès des malades.Mon grand père était prêtre vaudou, féticheur, franc maçon, Égyptologue, illuminati, secrétaire général du ngondo une secte camerounaise quelle ambiance dans la famille!!
Car chacun voulait avoir les petits enfants de son côté.Très jeune j'ai choisi mon camp celui de Dieu.
A mon adolescence arrivée à Paris pour mes études ce Dieu de ma grand mère je l'ai abandonné car il était encombrant par rapport à la soi disant liberté que je voulais vivre. Après mon baccalauréat, j'ai obtenu un DUT de Marketing puis une maîtrise de gestion des entreprises un bel avenir en perspective. J'avais atteint mon objectif de réussite mais peu de temps après tout allait s'écrouler en juillet 1981 à la suite d'une éclampsie suivie de mort fœtale j'ai subi une opération avec beaucoup d'erreurs médicales à l’hôpital hôtel Dieu à coté de la cathédrale Notre Dame de Paris, mon état s'aggravant j'ai été transféré à l'hôpital la Pitié, service des soins intensifs Pavillon Cordier avec les deux reins qui ne fonctionnaient plus tout a été fait pendant une semaine finalement l'équipe médicale m'a condamnée pour une vie de dialyse pendant quelques années et ensuite, la mort si jeune j'allais partir. La veille du jour où l'on devait m'amener au bloc pour la pose du cathéter alors que j'étais dans la rébellion ,éloignée de Dieu j'ai prononcé la phrase suivante" Dieu si tu existes vraiment fais fonctionner mes reins".
Le matin mes reins avaient repris leur fonctionnement normal et l'équipe médicale du service d'urologie a reconnu que c'était un miracle. je devais chercher à connaitre ce Dieu normalement après cette expérience mais non!!. De longues années de maladie suivirent traînant dans les hôpitaux.Ce désastre m'a conduit à l'occultisme ( bouddhisme, magie, spiritisme , méditation transcendantale, sorcellerie) avec toutes les conséquences qui ont suivi des hallucinations, des pensées suicidaires, communication avec les esprits.
Je vivais une longue période de chômage, à la suite de laquelle j'ai sombré dans une dépression profonde et là j'ai commencé à me poser les vraies questions celles de mon existence sur la terre, de la mort et de l'après. J'ai repris la vieille bible que mon père m'avait offert et à travers la lecture j'ai découvert que Dieu est amour et qu'il avait des projets de bonheur pour ma vie. Et en plus à cause de ce grand amour il avait donné son Fils unique Jésus Christ pour me sauver de la mort pour que j'ai une vie heureuse sur la terre et une éternité auprès de lui.
Jean 3 verset 16 " Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui aie la vie éternelle".
Dieu me connaissant n'a pas permis que je quitte ce monde pour passer mon éternité en enfer car la parole de Dieu dit " Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu". Romains 3 verset 23.
1 Timothée 2 verset 4 " Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité"
Le 29 octobre 1989 un jour extraordinaire prévue dans l'agenda de Dieu, je rencontre le Rev Dr Makiese Kala de Lifeline Ministries basée en Californie pendant son voyage missionnaire à Paris il m'annonce l'évangile et sans hésiter je donne ma vie à Jésus Christ il est devenu mon Seigneur et mon Sauveur personnel Romains 10 verset 9 " Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus Christ, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité d'entre les morts tu seras sauvé".
Le 7 octobre 1992 lors de la Convention "Des Serviteurs et Servantes de Dieu de la dernière heure" à Montréal, mon appel pour le service du Seigneur s'est confirmé. Dieu m'avait choisi pour le servir à travers les nations.
Grâce aux encouragements de la Servante de Dieu Isabel Torres ,du Pasteur Bernard Giacomin et son épouse Paulette,l'Evangeliste Kitty Hamilton et Rev Kalombo Henriette j'ai commencé le service.
Ma participation aux différents champs de mission jusqu'à ce jour à travers les Nations est une source de bénédictions pour le Corps du Christ et d'autres.
Je veux vous dire sincèrement, ma passion c'est Jésus Christ. Un choix que je ne pourrai jamais regretter, la cartésienne, rationaliste que j'étais a mis sa foi en un grand Dieu afin d'accomplir son oeuvre et faire des exploits.
Essayez cette belle expérience!!!
Luc 1 verset 17
CAR RIEN N'EST IMPOSSIBLE A DIEU
SERVANT OF GOD
ALVINE ELISABETH NDONGO NTONE
Born in Cameroun in a Protestant family, I was confronted very early with the service of God, my paternal grandmother who exerted the ministry of prayer beside the patients with the Church Alfred Saker of Douala. After high school, I obtained a diploma of Marketing and a Master of Economic and administration .
October 1989 I give my life to Jesus Christ, he becomes my Savior.
October 1992, at the Convention " Servants of God in the last hour" at Montréal. I received the calling to serve the Lord through the Nations. The mission started very early, thanks to the encouragements of the Servant of God Isabel Torres, Pastor Bernard Giacomin and his wife. My participation in the various fields of mission through the Nations is a blessing for the Body of Christ and others.
Luc 1 verset 17
BECAUSE NOTHING IS IMPOSSIBLE TO GOD
BIOGRAPHIE DE MARIE-LISE BAFOUNTA-MAMPOUYA
Je suis née à Lyon, en France, de parents Congolais de Brazzaville.
Mon père était « médecin indigène » au Congo. Arrivé en France pour poursuivre des études de médecine, il a été exclu de la faculté de médecine de Lyon et est devenu infirmier, profession qu’il a exercée pendant des années avant de pratiquer le magnétisme, l’hypnose, et les fétiches. Il était depuis son jeûne âge versé dans l’occultisme avec une entrée précoce dans la rose-croix dont il a été pendant plusieurs années représentant pour la région Afrique noire. Il était aussi franc-maçon, pratiquait la magie indienne, le bouddhisme, les arts martiaux, et voyageait dans le monde entier à la recherche de « puissance » ; à la fin de ses jours, il était dans la secte du graal.
Ma mère, couturière de formation, pratiquait le catholicisme, le kimbanguisme, était dans la secte japonaise mahikari et consultait de nombreux marabouts et autres voyants.
Il y avait une surenchère dans l’occultisme entre mes deux parents. A eux deux, ils étaient spécialistes en « magie blanche » et en « magie noire ». Les deux sont morts au même âge de 55 ans (avaient-ils fait un pacte ?), à 9 ans d’intervalle.
Déterminée à m’en sortir, je poursuivais des études à la faculté de médecine de Lyon. Tout semblait me sourire. Mais il y avait un mal-être au fond de moi que je n’arrivais pas à définir et qui n’a fait qu’empirer après que j’ai pratiqué le yoga et surtout que j’aie commis un avortement.
Dans cette atmosphère ténébreuse familiale, je cherchais Dieu au fond de mon cœur, je me suis dis que la seule solution pour moi était de le connaître ; je me suis tournée vers le diocèse de Lyon puisque pour moi Dieu se trouvait dans la religion catholique, pour demander à être baptisée. On m’a attribué un parrain, pneumologue à la retraite. Je participais assidûment aux rencontres d’initiation et préparation au baptême. Je me réjouissais car j’avais l’impression de progresser, j’apprenais des prières; mon égo se glorifiait dans l’augmentation de ma connaissance. Mais je ressentais toujours un manque. Malgré une vie en apparence normale, je sentais la mort au fond de moi.
Un jour, j’ai été invitée à une réunion chrétienne organisée par le pasteur Malonga Marcel, chez une famille qui l’hébergeait pendant un séjour à Lyon. J’ai découvert que Jésus est venu comme un homme pour que nous puissions avoir une relation avec lui ; j’ai découvert que je pouvais lui parler, prier avec mes simples mots. J’ai découvert que Dieu ne me demandait pas d’avoir « la connaissance » ; je n’avais rien à prouver, il n’attendait rien de moi sinon que je reconnaisse mon état de pécheresse et que j’avais besoin de me réconcilier avec lui, tout simplement, en donnant ma vie à son fils Jésus-Christ, ce don parfait qui a été envoyé pour cela. J’ai su et j’ai cru que c’était cela qui me manquait, j’ai su que c’était cela que je cherchais et que c’était le seul chemin pour devenir enfant de Dieu et avoir la vie éternelle.
J’ai accepté le Seigneur Jésus-Christ comme Seigneur et Sauveur personnel (Romains 10 :9).
Je n’ai donc pas été baptisée dans l’Eglise catholique. (Jean 8 :32) mais j’ai reçu le baptême par immersion au nom Jésus (Actes 2 :38)
Dieu a utilisé sa servante Alvine Ndongo Ntone qui vivait à Paris. De façon imprévue, elle a été hébergée par ma sœur aînée lors d’une convention. La puissance de Dieu s’est manifestée dans cette maison et ma mère a révélé la profondeur des ténèbres dans laquelle était plongée ma famille ainsi que certains secrets : j’ai découvert que mon père avait sacrifié tous ses enfants au diable et que ma mère m’avait sacrifiée : je devais mourir en cette année 1993.
Dieu a manifesté sa grâce : je ne suis pas morte en 1993, je me suis accrochée au Seigneur Jésus-Christ et un parcours de délivrance a commencé dans ma vie.
Cependant, j’étais engagée dans un parcours et une programmation maçonniques qui venaient de mon héritage familial et de mon propre parcours, notamment dans la médecine. Arrivée à Paris pour être interne en médecine, mes ambitions professionnelles m’ont conduites à rencontrer mon « mentor », un professeur en dermatologie. Je me suis alors retrouvée dans les chaines de la franc-maçonnerie en Europe puis au niveau international aux Etats-Unis à travers divers travaux et une formation à Harvard. J'ai ainsi prononcé le serment maçonnique d’Hippocrate qui scellait l'alliance avec mon "mentor".
Alors que je décidais de quitter ce milieu hospitalo-universitaire, différentes propositions m’étaient faites pour devenir professeur-chef de service ou ouvrir un grand cabinet dermatologique à Dubaï. (Nul ne peut servir deux maîtres : Matthieu 6 :24)
Dieu avait un autre plan pour ma vie ; il est le Dieu de la délivrance! j’ai réalisé que je devais m’abandonner totalement entre ses mains, renoncer à mes projets et ambitions personnelles pour entrer dans le plan parfait de Dieu (Jérémie 29 :11). Il a tout accompli à la Croix! C’est à cette époque, dans la douleur devant les choix que je devais faire, le renoncement, et les persécutions, que je me suis réellement repentie et convertie ; oui, je distingue en effet le jour où j’ai donné ma vie à Jésus, même si j’étais sincère, et le jour où je me suis convertie. Je me suis convertie quand je me suis réellement vue au regard de Jésus ; j’ai arrêté de me voir comme quelqu’un de bien, comme une victime ; j’ai vu qui j’étais réellement et j’ai commencé à réaliser la valeur du sacrifice de Jésus à la Croix pour moi. C’est à partir de ma conversion que j’ai vraiment commencé une relation personnelle avec Jésus-Christ et que j’ai commencé à vivre pleinement ma vie chrétienne, à découvrir la joie et la paix de connaître Jésus-Christ, quels que soient les difficultés et les combats.
Dieu ne m'a jamais abandonné! il m'a donné une famille quand j'étais seule, sa servante Alvine a toujours été a mes côtés et a payé le prix dans la prière pour moi, il a pourvu à tous mes besoins. (Luc 18:29-30).
J’ai connu la puissance de la résurrection qui brise les chaines, transforme et restaure une vie car j’ai réellement été transportée du royaume des ténèbres au royaume de la lumière ! (Jean 11 :25, Colossiens 1:13) C’est ainsi que malgré tous les pactes de mes parents, mes propres pactes et alliances passées, je suis vivante, je ne mourrai pas, je vivrai et je raconterai les œuvres de l’Eternel ! (Psaumes 118 :17)
Ma priorité est d’annoncer cette bonne nouvelle de l’Evangile qui libère réellement afin que le plus grand nombre rencontre son Sauveur Jésus-Christ, la seule source de bonheur!
Je vous encourage à chercher à connaître Jésus-Christ, cet homme merveilleux qui a donné sa vie pour chacun de vous sans rien attendre en retour!
Servante Marie-Lise Bafounta-Mampouya
